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‘L’aftercare sex’, la pratique issue du BDSM qu’on peut tous adopter – RTBF Actus

A l’origine, l’aftercare provient du milieu BDSM (bondage, discipline, soumission et masochisme). Après ces rapports sexuels souvent vécus comme des expériences intenses, les partenaires éprouvent le besoin d’échanger entre eux, lors d’un moment calme. Ces instants permettent de redescendre doucement tout en dégageant un espace pour exprimer ses besoins psycho-émotionnels, ou effectuer toute autre forme de soin nécessaire au bien-être des partenaires. Pas besoin toutefois d’être un adepte pour apprécier les bienfaits de l’aftercare, puisque l’idée est simplement de partager un moment doux, de renforcer le lien à l’autre.

Si le sexe en lui-même suppose plaisir et intimité, il peut aussi être l’endroit où s’expriment de la vulnérabilité, des complexes, des insécurités. Le moment où l’intensité retombe est souvent négligé, au profit de l’acte sexuel en lui-même. Pourtant, l’aftercare permet de renforcer la relation entre deux personnes, peu importe sa nature, mais surtout d’instaurer un sentiment de sécurité émotionnelle, un espace d’échange bienveillant où tout le monde peut être entendu. Cet endroit peut aussi être celui de l’expression d’une envie, d’un besoin, d’un compliment… La connexion sentimentale se verra renforcée, tout comme la connexion physique.

Auteur : rtbf.info@rtbf.be (Lou Janssens)

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.